les collines

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  L'écume     Albert Camus, les eaux primitives         Les soirs rapides     

Le bruissement du vent     Au bord des lèvres

Comments

[patrick verroust]

Le Raymond Kopa, le copain de lycée qui lui décolla la plèvre d'un shoot à l'Albert qui faisait un bon gardien de but....Il faillit en mourir, fini le foot, il lui restait la philosophie,
l'écriture..Il fit une grosse déprime "J'ai envie de me marier, de me suicider ou de m'abonner à l'Illustration...un geste désespéré, quoi..". Ils étaient une sacrée bande au lycée Bugeaud
d'Alger....Les Camus, Derrida, kopa et autres

[Maria-D]

Je l'ai reconnu avant d'en lire la légende, un bonheur ce lavis... et cet homme.

" Au printemps, Tipasa est habité par les dieux et les dieux parlent dans le soleil et l’odeur des absinthes, la mer cuirassée d’argent, le ciel bleu écru, les ruines couvertes de fleurs et la
lumière à gros bouillon dans les amas de pierre. A certaines heures, la campagne est noire de soleil. Les yeux tentent vainement de saisir autre chose que des gouttes de lumière et de couleurs qui
tremblent au bord des cils. L’odeur volumineuse des plantes aromatiques racle la gorge et suffoque dans la chaleur énorme. A peine, au fond du paysage, puis-je voir la masse noire du Chenoua qui
prend racine dans les collines autour du village, et s’ébranle d’un rythme sûr et pesant pour aller s’accroupir dans la mer."


Camus (Noces)

[Gilbert Pinna, le blog graphique]

... le soleil noir ... merci Maria.

[TG]

"… Sens, la mort est absurde,…"
Ce la vie qui est absurde! la mort puisqu'on n'existe pas n'existe pas non plus (non mais!)

[Gilbert Pinna, le blog graphique]

(... dès lors que le non-être n'est pas, il s'affirme  par sa double négation même et... ;)

[anonyme]

... plus beau lavis ;)

[Gilbert Pinna, le blog graphique]

8978 ème épisode.

[patrick verroust]

.La vitesse, la fureur de vivre, crever sur la route de Sens, la mort est absurde, définitive.Destin décisif,révoltant...Il reste le mythe et l'homme, copain de Kopa....

[Gilbert Pinna, le blog graphique]

[Elise L]

... dans L'été "Attendre encore, et je partirai. (...) L'espace et le silence pèsent d'un seul poids sur le coeur. Un brusque amour, une grande oeuvre, un acte décisif, une pensée qui transfigure,
à certains moments donnent la même intolérable anxiété, doublée d'un attrait irrésistible. Délicieuse angoisse d'être, proximité exquise d'un danger dont nous ne connaissons pas le nom, vivre,
alors, est-ce courir à sa perte ? À nouveau, sans répit, courons à notre perte."

[Gilbert Pinna, le blog graphique]

( ... et mes coureurs précédents qui sont camusiens, sans le savoir...)

[patrick verroust]

"Les collines en Facel-véga… Je ne sais pas si vous me suivez? " en porsche 550 spyder pour aller faire "la noce"...

[TG]

Après tout mourir pour mourir autant que cela se fasse dans une belle voiture… mais de nos jours les intellectuels n'aiment plus les belles voitures décapotables… ils préfèrent les vélib… triste
tropique!

[TG]

Ah Camus, Ah Camus quand même c'était quelque chose. Quelle idée d'aller se tuer en Facel-Véga, remarquez, c'est une preuve de bon goût,(pas de se tuer, la Facel Véga)… Surtout qu'il me semble
qu'il revenait de chez Balthus…
Les collines en Facel-véga… Je ne sais pas si vous me suivez?

[Gilbert Pinna, le blog graphique]

... la vie à toute vitesse.

[patrick verroust]

Beau ce portrait de camus....Les collines y courir!

[Gilbert Pinna, le blog graphique]

... toute affaire cessante.

[fleur]

et derrière les collines, la mer ? ;)

[Gilbert Pinna, le blog graphique]

... oui, on l'entend.