Le blanc manteau

Publié le 11 Janvier 2010

Il ne fait que passer

(cliquer sur le dessin pour l'agrandir)

[Haut]

Rédigé par Gilbert Pinna, le blog graphique

Publié dans #vestiaire

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L
laurence
12/01/2010 07:38
<br /> Et si le givre comme une chevelure avait couronné son désespoir<br /> <br /> <br />
Répondre
G
Gilbert Pinna, le blog graphique
12/01/2010 07:47
<br /> ...une couronne d'épines givrées ...<br /> <br /> <br />
A
ap
11/01/2010 23:36
<br /> Décidément, j'aime beaucoup ces dessins (pas seulement celui-ci) à la ligne sèche et nerveuse. Belle fragilité cassante (le givre sous les pas et la bise qui souffle au col).<br /> Bonne année d'images (et autres choses aussi)<br /> bien à vous<br /> ap<br /> <br /> <br />
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G
Gilbert Pinna, le blog graphique
12/01/2010 07:38
<br /> Merci ap, belle année créative à vous aussi ...<br /> <br /> <br />
K
K.
11/01/2010 22:54
<br /> Il est seul, il a froid. Il écoute le tambour,il va vers lui comme vers une source de vie..<br /> <br /> <br />
Répondre
G
Gilbert Pinna, le blog graphique
12/01/2010 07:39
<br /> Les roulements du tambour, déjà, lui réchauffent le sang...<br /> <br /> <br />
J
julien
11/01/2010 17:17
<br /> Ce titre m'a fait penser à une chanson de Juliette Gréco qui s'appelle " rue des blanc manteaux" qui est écrite, je crois bien , par Sartre.<br /> <br /> <br />
Répondre
G
Gilbert Pinna, le blog graphique
11/01/2010 17:53
<br /> Oui, c'est vrai. Un couplet de la chanson est présenté pour la première fois dans Huis clos. Une histoire terrible de bourreau, évidemment.<br /> <br /> Dans la rue des Blancs-Manteaux<br /> Ils ont élevé des tréteaux<br /> Et mis du son dans un seau<br /> Et c'était un échafaud<br /> <br /> <br />